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1.3.1-La cible
1) Les Clients (communication marketing). 2) Les Collaborateurs (communication interne). 3) Les Citoyens (communication sociétale). 4) Les Actionnaires (communication financière)
1.3.2-Les modèles de l’action publicitaire :les effets du message au niveau du récepteurLa publicité média émet des messages afin d’exercer une influence sur l’esprit et le comportement du public auquel elle s’adresse. Les mécanismes psychologiques aux travers lesquels la pub est susceptible d’influencer l’esprit et les comportements ont été largement exploré par les professeurs et les chercheurs. A)LES THEORIES DE L’APPRENTISSAGE :On cherche à comprendre comment les individus apprennent.
2)les théories cognitivistes
3)les modèles indirects ou modèles de la hiérarchie des effetsCes modèles partent du principe qu’au terme état d’ignorance complet de la marque et la fidélisation à cette maque ,un individu passe par plusieurs étapes qu’ils franchit dans un certain ordre. Ces modèles sont construits sur deux séquences d’effets d’intermédiaires. Séquence :retrace les étapes que les individus suivent depuis leur expositions à l’achat. On peut attendre du récepteur 3 types de réponses :
L’opinion des individus peut être considérée comme la verbalisation des attitudes . Les chercheurs s’accordent à dire que l’attention et la prise de conscience sont les premiers stades de la chaine des efforts du message ,le dernier stade est dans l’action qui en résulte. A-AIDAAttirer l’achat. Susciter l’intérêt. Eveiller le désir. Concrétiser l’achat. Il est fondé sur une démarche humaine et construit de la persuasion. Au départ Louis avait conçu le modèle AIDA pour servir à l’élaboration d’un guide argumentaire. B-MODELE DAHMAR :Qui a été conçu par colley ce modèle 5 niveaux : 1)La non-connaissance (attirer l’attention). 2)la prise de conscience . 3)La non-compréhension l’informer. 4) La non conviction développer des attitudes favorables. 5) l’achat incité à l’achat. C-LE MODELE DE LAVIDGE ET STEINERRepose les questions suivantes :
Ces différents modèles proposent toujours la même séquence qui va dans le même sens du stade cognitif en stade conatif en passant par le stade affectif. Ce type de séquence suppose que l’implication du consommateur soit forte pour qu’il prête attention au message, pour qu’il mémorise la marque, ses informations, qu’il développe une préférence pour une marque et enfin pour qu’il achète la maque. D-RICHARD VAUGHT matrice de séquence
Relation directe entre la dépense de publicité et l’effort de la publicité. Les courbes de dépenses indiquant qu’il y’a un seuil minimum de l’investissement publicitaire et un seul maximal où la pub n’a plus d’effets. Rép :vente ,part de marché ,reconnaissance de la marque ,notoriété, trafic dans les produits de vente. Le comportement de la cible à l’égard du message pub à été étudié à l’aide de deux modèle :
Ces deux modèles ont donné 2 types d’approches
Dans ce modèle la cible dispose de Un traitement heuristique qui est fondé sur l’examen d’indices périphériques et qui ne demande qu’un faible effort cognitif. Le 2ème système c’est un traitement systématique qui est fondé sur la compréhension de l’argumentation persuasive et qui va à l’inverse du premier demander un effort cognitif important. Le récepteur choisira un de ces traitements en fonction de l’équilibre qu’il cherche entre ses préoccupations d’économie cognitive et la satisfaction de ses motivations. Ces deux principes sont donc des médiateurs du choix du traitement du récepteur. Un récepteur va s’engager dans le traitement systématique quand le traitement heuristique ne fournira pas une confiance suffisante pour son jugement, ou alors il utilisera le traitement systématique lorsque le traitement heuristique ne pourra pas avoir lieu, par exemple ça sera le cas quand l’objet de la communication ne fournira pas d’indices associables à des heuristiques qui se trouvent dans la mémoire du récepteur. Le traitement heuristique n’a lieu que lorsque trois conditions sont remplies :
Modèle de probabilité d’élaboration (Petty et Cacioppo)Afin de persuader la publicité emprunte plusieurs chemins et pendant longtemps le chemin principal était celui d’une prise de conscience cognitive mais d’autres recherches ont prouvé que d’autres voies étaient possibles. Le modèle ELM s’inspire de l’approche de la réponse cognitive de Grewald selon laquelle dans la mesure ou les pensées personnelles sont favorables il y’aura persuasion. Les deux auteurs distinguent deux routes de persuasion, une route centrale et une route périphérique
Le modèle ELM peut être résumé en 3 points :
Théorie de la dissonance cognitive (FESTINGER 1957) :Cette théorie repose sur le fait que l’homme ne peut pas vivre avec des informations contradictoires, il éliminera donc certaines informations afin d’atteindre une cohérence cognitive, cette théorie est une théorie de traitement de l’information et de la décision. Il y’a dissonance quand le consommateur reçoit des informations discordantes qui vont le déranger et qui vont perturber ses opinions et ses habitudes , l’individu aura tendance à résister à cette dissonance mais si cette dernière est top forte pour lui, elle pourra l’amener à remettre en cause les choix qu’il a effectué dans le passé ou bien les choix qu’il s’apprêtait à faire . L’auteur de la théorie définit la dissonance cognitive comme un état de tension désagréable due à la présence simultanée de deux cognitions qui sont psychologiquement inconsistantes. L’hypothèse de base de cette théorie est que la dissonance produit chez l’individu un état de tension qui va l’inciter au changement, plus la dissonance est importante plus le malaise de l’individu est fort et plus les efforts pour réduire cette dissonance seront importants. L’information, dissonante doit provenir de source suffisamment crédible, sinon elle sera écartée par le consommateur. Il est possible de supprimer les éléments dissonants ou de les réduire mais il est aussi possible d’augmenter les éléments consonants, la réaction du consommateur consiste généralement à réduire la dissonance plutôt qu’à régler le vrai problème qui crée cette dissonance, le consommateur pourra alors adopter une de ces solutions :
La théorie de l’influence sociale (KELMAN 1961)Selon Kelman il y’a 3 processus d’influence sociale qui ont pour résultat l’adoption par individu de l’attitude ou du comportement d’un autre individu ou d’un groupe
Les récepteurs croient en la solidité du nouveau comportement adopté et ce dernier est progressivement assimilé aux valeurs personnelles de l’individu Le modèle de persuasion (Mc Guire ;1969)- processus de changementCet auteur a mis au point de la persuasion qui vaut pour la publicité et qui est basé sur 6 séquences
La compréhension d’un message va dépendre de sa perception. Les classifications de réactions affectivesla plupart des chercheurs considèrent les réactions affectives générées par la publicité comme des antécédents de l’attitude envers le message, l’approche discrète des émotions, stipule que les émotions appartiennent à des catégories identifiables et indépendantes et ces auteurs identifient la nature des émotions ressenties face à des stimuli publicitaires, et il font ainsi des analyses typologiques afin d’identifier et de différencier chaque émotion |
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![]() | «la qualité de l’information et de la communication financière» (Bouton 2002, p3) | ![]() | «L’actu des ateliers» : Communication des infos du moment et des besoins éventuels |