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REEQUILIBRE de la Balance Commerciale Hausse du prix des importations libellés en monnaie nationale (Baisse) Baisse en volume des importations (Hausse) ![]() ![]() Ce mécanisme est symétrique : les excédents vont disparaître. Pour les défenseurs de ce mécanisme, il y a 3 avantages :
Si on limite la croissance de la demande, on limite l’augmentation des importations et il apparaît des capacités de production disponibles dans l’exportation. Cette politique restrictive permettra de rétablir l’équilibre du commerce extérieur s’il était déficitaire (mais ça peut être coûteux pour la population). Ces politiques restrictives peuvent contribuer à augmenter le chômage.
Les pays excédentaires ont tendance à conserver leurs excédents et les pays déficitaires ont tendance à conserver leurs déficits donc ce mécanisme ne fonctionne pas très bien.
e D/P = ∆ D / D ![]() ∆ = variations D = Demande P = Prix
Malgré l’adoption de l’auro, le dollar joue toujours le rôle de monnaie internationale. On retrouve les 3 fonctions de la monnaie :
Pour que le système fonctionne correctement, il faut que le cours du dollar soit relativement stable par rapport à l’ensemble des monnaies du monde, ce qui, historiquement, n’a pas toujours été le cas. Ainsi, en 1980, un dollar valait 5 FF alors que 5 ans plus tard il valait à peu près 10 FF.
Pour calculer si un taux de change respecte vraiment la PPA, un grand journal anglais avait trouver un produit que l’on retrouve à peu près dans le monde entier : le Bic Mac de chez Mc Donald. C’est le produit phare, le produit référence. Peut-on en acheter autant avec le même capital ? Si on estime que les taux de change doivent respecter la PPA, une inflation plus rapide dans un pays donné que dans les autres doit normalement entraîner une dépréciation de la monnaie du pays concerné.
Bien que la monnaie soit flottante, les BC interviennent sur le marché des changes pour au moins 3 raisons :
Très souvent, les BC interviennent de façon concertée parce que l’intervention d’une BC isolée n’est pas efficace. Ex : en septembre 85, il y a eu les accords du Plazza à New York pris par le G-5 (G-7 actuel moins l’Italie et le Canada). Il a été décidé de provoquer une baisse graduelle du cours du dollar sur le marché des changes, car il était jugé que le cours du dollar était trop élevé. Pour la première fois de leur histoire, les USA ont accepté de participer activement à ce type d’intervention pour faire baisser le cours de la monnaie. Cela consiste pour les USA à vendre leur propre monnaie pour faire chuter le cours du dollar. Il n’y aucune limite pour une BC à vendre sa propre monnaie (jeu d’écriture) alors que dans l’autre sens, il faut de la monnaie étrangère en stock. En février 1987, le G-7 décide de stabiliser le cours du dollar, ce qui a été fait. On peut citer des interventions plus récentes :
La crise asiatique a pour cause le risque d’insolvabilité des banques et des entreprises du Sud Est asiatique.
Les pays du Sud Est asiatique ont connu une croissance très rapide le siècle dernier (miracle économique asiatique). Le dénommé SAMUELSSON a dénoncé la « bande des 4 », en accusant 4 pays d’exercer une concurrence très forte vis-à-vis des industries des pays développés (Malaisie, Hong-Kong, Corée du Sud et Taiwan). Ces pays du Sud Est asiatique ont eu des besoins de financement importants. Ce financement a été rendu possible par apport de capitaux étrangers. Le taux d’épargne est de l’ordre de 20 à 30% du PIB et le taux d’investissement a pu atteindre 40% et l’écart a été comblé par les investisseurs étrangers. L’investissement étranger représente 10% de l’investissement local.
Les capitaux étrangers ont été attirés par des perspectives de plus-values et des taux d’intérêts très élevés. De plus, les risques ont été considéré comme limités :
Les banques locales ont prêté à des entreprises, secteur de moins en moins rentables. Elles ont même investi et spéculé dans l’immobilier. Il y a eu une mauvaise allocation du capital entre les secteurs d ‘activité. Il y a eu formation d’une bulle financière et d’une bulle dans l’immobilier.
Les investisseurs étrangers, en 1997, prennent conscience du risque d’insolvabilité des entreprises du Sud Est asiatique. Ils constatent que les monnaies des pays du Sud Est asiatique sont surévaluées et que ça freine leurs exportations. Ils donc retirer brutalement leurs capitaux, les monnaies locales sont descendues sur le marché des changes, ce qui fait déprécier le cours de ces monnaies.
Les monnaies vont perdre 30 à 50% de leur valeur et deviennent flottantes par les Etats. Naturellement, les investisseurs étrangers vendent massivement leurs actions : baisse du cours des actions.
Les banques sont victimes d’un « effet de ciseau ». dans le bilan, côté actif, il y a dévalorisation des immobilisations et des titres à cause de la crise boursière et il est apparu une crise dans l’immobilier. Côté passif, les engagements (ce qu’on doit) libellés en monnaie locale augmente parce que la plupart des dettes étaient libellées en dollar et comme le cours de la monnaie locale s’est effondré, les dettes ont fortement augmentées. Dans les pays du Sud Est asiatique, le prix des marchandises importées augmentent fortement (ex : prix du riz multiplié par 3, troubles, émeutes en Indonésie). Les exportateurs ne peuvent pas souvent exportés faute de financement. Des exportations ont un « fort contenu en importation » : pour pouvoir fabriquer les produits exportés, il faut au préalable importé des produits finis ou de la matière première et les banques refusent les crédits libellés en dollar. De nombreuses entreprises sont en difficulté à cause des faillites bancaires.
La crise a fait chuter le prix du pétrole : prix du baril 24$ à 11$ (+ de 50$ actuellement). Les pays producteurs de pétrole sont directement affectés par la baisse du prix du pétrole :
La Russie présente toujours de nombreuses faiblesses structurelles :
La Russie est directement affectée par le canal du commerce extérieur. La baisse des achats des produits sidérurgiques par les pays asiatiques, la Russie, gros exportateur de matières premières, est directement touchée par la baisse du cours des matières premières dont le pétrole. C’est le même scénario que pour les pays du Sud Est asiatiques : investisseurs étrangers retirent leurs capitaux, vendent les roubles qu’ils possèdent et le cours du rouble s’effondre sur le marché des changes.
Le taux d’inflation atteint 80% en 98 alors qu’il était de 11% en 1997. Le PIB en volume baisse de 10% : forte hausse du chômage en Russie. Les banques, également en difficulté, comme celles des pays du Sud Est asiatique font des faillites bancaires. La crise en Russie n’a eu qu’un effet limité sur le reste du monde (RDM), car leur PIB ne représente qu’1,5% du PIB mondial. Incidence sur les USA et l’Europe : ils ont tiré un avantage de la crise asiatique :
L’Europe et les USA n’ont pas été victime de la crise mais aurait pu l’être par le biais du commerce extérieur.
Une des causes est l’absence de contrôle exercé sur les banques. D’après le Code du Commerce, sur 50 pays émergents ayant libérés leurs secteur financier, 40 ont connu une crise majeure. Les contrôles stricts sont nécessaires et il a été proposé le ratio Cooke : rapport minimum à respecter entre les fonds propres de la banque et ses engagements (dette)
L’endettement des PED vis à vis des pays extérieurs ne devraient pas excédés 15 à 20% de leur PIB.
Les retraits massifs de capitaux ont conduit à la crise asiatique. Il faut donc éviter les retraits massifs de capitaux. La première proposition est de James TOBIN, l’idée est d’effectuer un prélèvement sur toutes les transactions de change de l’ordre de 0,1 à 0,25%. L’idée est de décourager les mouvements incessants de capitaux spéculatifs. Ce qui fait l’intérêt de cette taxe est que le produit devrait servir à financer le développement des PED. Cette taxe a soulevé des objections : les professionnels la jugent inapplicable d’un point de vue pratique. Le principe de la taxe devrait être accepté p r tous les pays développé, à part les USA qui sont contre. On trouve que c’est une taxe inique parce qu’elle frappe les spéculateurs comme les bons investisseurs qui placent durablement leurs capitaux dans un pays émergents. La taxe est d’un montant insuffisant pour lutter contre la spéculation sur le marché des changes. Cette taxe garde son actualité avec le produit qu’elle dégagerait pour financer les PED.
Pour empêcher des retraits massifs de capitaux, certains Etats instaurent un contrôle des changes. Cela signifie que pour transférer des capitaux à l’étranger, il faut au préalable en avoir l’autorisation. La Malaisie a instauré un tel contrôle en septembre 1998. Egalement, il y a obligation pour les résidants de rapatrier les gains réalisés à l’étranger et il y a blocage pendant un an des avoirs des résidents. Le contrôle des changes ne concerne pas le règlement des achats faits à l’étranger. Les ressortissants des pays concernés peuvent librement importés. Mais le contrôle peut décourager les investisseurs étrangers. Or les pays émergents ont besoin d’un financement externe pour se développer. Les pays africains ne connaissent ainsi qu’une faible croissance économique. La Malaisie a aujourd’hui abandonné le contr^le des changes.
Il s’agit de sélectionner à l’entrée les bons capitaux en écartant les capitaux spéculatifs placés à CT. On limite ainsi le risque d’un retrait banal des capitaux pouvant provoquer une crise. On peut contrôler la qualité des emprunteurs nationaux. Le Chili a ainsi été pris comme modèle : 30% des capitaux étrangers qui sont investis sous d’autres formes que des actions doivent être déposés à la BC pendant un an, sans intérêt. Les entreprises chiliennes, y compris les banques, ne sont autorisées à emprunter à l’étranger (entrée de capitaux dans le pays) que si leur solvabilité est supérieure ou égale à celle du gouvernement chilien selon 2 agences de notation internationales.
L’Etat retient l’option de rattachement et définit dans ce cadre sa monnaie par rapport à une grande devise. Il va veiller à ce que la qualité de la monnaie demeure inchangée, ce qui permet au plan interne de lutter contre l’inflation. Si la devise de référence conserve on poids d’achat, la monnaie nationale va conserve automatiquement so, de voir d’achat. Au plan externe, on rassure les investisseurs étrangers en choisissant ce type de stratégie. Exemple : la France de 1987 à 1999, a retenu une stratégie qui avait lié la France au mark au sein du SME, stratégie menée avec succès jusqu’à ce qu’on adopte l’euro.
La BC est transformée en conseil monétaire, qualifié de currency board. La monnaie nationale est définie par rapport à une grande devise de référence (option de rattachement) mais la BC n’accorde plus aucun crédit à personne et nuance un peu son rôle de prêteur en dernier ressort. La BCE ne remet des billets que si on lui remet, en contrepartie, des devises (monnaie de référence). La monnaie nationale est convertible en devises auprès de la BC. Les investisseurs étrangers peuvent à tout moment récupérer sans risque leur monnaie. Exemple : l’Argentine a adopté ce système en 1990, en rattachant le peso au dollar. On avait inscrit dans la loi, la parité : 1 peso = 1 dollar. La monnaie n’est ici que le reflet de la devise de référence. Si les investisseurs étrangers retirent leurs capitaux, la masse monétaire interne diminue et les taux d’intérêt augmentent. Exemple : la Bulgarie a également adopté ce système comme Hong-Kong, l’Estonie, la Lituanie ou la Bosnie. Un tel système arrête immédiatement l’inflation interne dans un pays. En Argentine, le taux d’inflation était, en 1990, de 1344%/an ! En 1991, l’inflation est tombée à quelques pourcents. Remarque : ce système peut représenter des inconvénients par l’économie si les étrangers retirent massivement leurs capitaux entraînant une hausse des taux d’intérêt. En 1997, le taux d’intérêt de Hong-Kong avait atteint 300%. Le système argentin s’est terminé par une grave crise en 2001.
Certains Etats, comme le Panama, l’Equateur et e Salvador, ont abandonné leur monnaie au profit du dollar des USA qui est devenu leur monnaie officielle. L’Equateur a abandonné le sucre il y a quelques années. Dans ce cas là, le pays est à l’abri de toute crise monétaire car il n’a plus de monnaie propre. L’Equateur est le « prolongement des Etas-Unis » au niveau monétaire financier. Les banques locales passent sous contrôle américain. CONCLUSION Pour supprimer tout risque de change, on pourrait imaginer une monnaie mondiale. Tous les Etats auraient la même monnaie. L’inconvénient est que les pays perdraient toute possibilité d’ajustement en dévaluant ou réévaluant leur monnaie. Or l’expérience a montré que les ajustements monétaires étaient inévitables dans la mesure où les Etats ont des taux d’inflation différents pour un même niveau de développement. L’adoption de l’euro n’a été possible que grâce à la convergence des pays concernés. Cela a été possible grâce à la hausse des taux d’intérêt Keynes avait proposé la création d’une « superbanque » mondiale qui aurait joué le rôle de prêteur en dernier ressort et aurait émis une monnaie internationale : le BANCOR. Chapitre 2 : Echanges internationaux et mondialisation Section 1 : Les théories du commerce international
Adam SMITH distingue le Portugal et l’Angleterre, symbolisant l’économie mondiale.
L’Angleterre ne fera que du drap et le Portugal que du vin : spécialisation totale. En autarcie, l’économie mondiale fera deux unités de draps et deux unités de vins en 160 jours alors que dans le commerce international (CI), on est capable de produire 4 u. de draps et 3 u. de vins. Avantages :
Chaque pays a intérêt à se spécialiser en produisant la marchandise pour laquelle il a la plus grande supériorité ou la moins grande infériorité relative.
PA/PB = WA/WB
Ici, il n’y a pas possibilité de théorie de l’avantage absolu de SMITH. Pour l’Angleterre :
Pour le Portugal :
REGLE : on va examiner le coût relatif du drap : 0,833 et 1,125 : c’est l’Angleterre qui doit se spécialiser dans le drap alors que c’est le Portugal qui doit se spécialiser dans le vin (1,20>0,888).
Les rapports d’échange entre les biens dépendent des temps de travail relatifs. L’Angleterre a un intérêt évident à se spécialiser dans la production des draps et à échanger le drap contre du vin au Portugal parce que, avec une unité de drap au Portugal, on pourra obtenir 1,125 vins alors que si on renonce à fabriquer une unité de drap en Angleterre, on obtiendra, par la production interne, que 0,833 unité de vin soit une quantité plus faible produite que celle qui est obtenue avec l’échange. Le Portugal, pour les raisons analogues inverses, a intérêt à se spécialiser dans le vin. Remarques :
Après spécialisation, l’économie mondiale est représentée par 2 pays qui produisent plus de biens et services qu’en situation d’autarcie avec les mêmes quantités de travail. Après spécialisation, au Portugal, on va pouvoir produire 2,125 quantités de vins (170/80) et en Angleterre, on va pouvoir produire 2,2 unités de draps (220/100). On a un surplus à se partager qui est de 0,20 unités de draps et 0,125 unités de vin. La répartition de ces surplus, de ces gains, dépend du taux d’échange international qui est unique pour tous les pays. Ce taux va s’établir entre les 2 taux d’échanges internes. Au niveau international, le drap s’échange entre 0,833 et 1,125 unités de vins tandis que le vin s’échange entre 0,888 et 1,20 unités de draps. Si le taux d’échange international et 1 drap pour 0,833 vins (taux anglais), l’Angleterre ne gagne rien à l’échange international e tout le gain va au Portugal. Inversement, si le taux d’échange international est égal au taux portugais.
T ![]() L’accroissement de la production peut faire apparaître des économies d’échelle et les coûts unitaires ne seraient plus constants, ils baisseraient. C’est la phase des rendements d’échelle croissants (cf. infra). Un Etat peut avoir à protéger « une industrie naissante ». Elle peut être temporairement handicapée et moins performante que ses concurrentes étrangères. Si cette industrie naissante se développe, elle peut être capable ultérieurement de réduire ses coûts unitaires et elle peut devenir compétitive et beaucoup plus performante que les industries des autres pays.
C’est la théorie néoclassique. Les auteurs néoclassiques sont à l’origine de la microéconomie.
« Le pays qui dispose de relativement plus de capital aura intérêt à se spécialiser, c'est-à-dire à produire et à exporter le bien qui utilise pour sa production d’avantage de capital et inversement » Les dotations factorielles inégales d’un pays à l’autre sont à l’origine des avantages comparatifs simplement constatés dans la théorie de Ricardo et d’Adam Smith. C’est un modèle simplifié avec deux pays, deux facteurs de production et deux produits. Chaque pays dispose des mêmes technologies, les coûts de transport sont nuls. Le pays qui a beaucoup de main d’œuvre par rapport aux autres pays a le coût du travail le plus faible. Il est naturellement amené à se spécialiser dans le produit qui nécessite le plus de travail. (Même raisonnement pour le capital) Conclusion : Th. HOS (S Samuelson) C’est une suite logique de la théorie HO. A la suite de la spécialisation internationale, la demande du facteur le plus abondant augmente ce qui tend à augmenter le prix. Remarque : selon cette théorie, le coût de la main d’œuvre non qualifiée aurait tendance à augmenter dans les pays en développement qui se spécialise dans la production qui nécessite beaucoup de main d’œuvre non qualifiée. Le facteur peu abondant est relativement moins demandé, et son prix tend à baisser. Ex : main d’œuvre non qualifiée dans les pays développé. A terme, explique HOS, on devrait arriver à l’égalisation du prix des facteurs de production.
Il y a des études empirique pour vérifier la théorie de HO. A partir d’un tableau d’entrée sortie (TES), on détermine le contenu en capital et en travail des exportationsobjectif TES : qui achète ? Combien ? et à qui ? Pour les importations, on calcule le contenu en capital et en travail de la production nationale qui devrait se substituer aux importations. Les 1ers travaux à ce sujet ont été faits pat W. LEONTIEF Il a montré que les importations américaines contenaient une plus forte proportion de capital que les exportations américaines. Tout se passe en quelque sorte comme si les Etats-Unis échangeait de la main d’œuvre contre du capital étranger. C’est cela que l’on a appelé le paradoxe de Leontief : paradoxe car on s’attendait au résultat inverse car selon la croyance commune les Etats-Unis sont un pays bien dotés en capital donc logiquement leurs facteurs abondants devrait être le capital et par conséquent il aurait du se spécialiser dans des produits nécessitant beaucoup de capitalmais c’est l’inverse que l’on a observé. C’est Leontief lui-même qui a donné l’explication : En réalité, aux Etats-Unis le facteur abondant c’est tout simplement le travail. Les Etats-Unis il est vrai ont beaucoup d capital mais par rapport aux autres pays ils ont beaucoup plus de main d’œuvre qualifiée qui apparaît comme le facteur abondant. Le paradoxe de Leontief n’est qu’apparent. Dorénavant, dans ces analyses, on distingue au moins trois types de facteurs de production : la main d’œuvre non qualifiée, la main d’œuvre qualifiée et le facteur capital.
Les théories vues précédemment expliquent les échanges de produits différents entre pays ayant des structures économiques différentes, des dotations factorielles différentes. En réalité, ce qu’on constate c’est que les échanges commerciaux internationaux sont plus intenses entre pays ayant les mêmes niveaux de développement qu’entre pays ayant des structures économiques différentes, notamment entre pays développés et pays en développement. Les échanges concernent des produits de la branche (échanges intra branche voire même échange intra produits parfois) contraire de intra branche = interbranche
Cf. Poly VERNON a utilisé la théorie du cycle de vie au niveau international. Dans sa théorie initiale, il distingue 3 groupes de pays : |