Résumé : Les limites en géographie. Pertinence et limites d’un concept et d’une pratique





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Faculté des Lettres, des Arts & des Humanités, Université de Manouba

Département de Géographie, VIII° Colloque, Tunis, 1-2 mars 2013

« La question des limites en Géographie : Structures, dynamiques et enjeux »

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Les limites en géographie

Pertinence et limites d’un concept et d’une pratique
Amor BELHEDI

Faculté des Sciences Humaines & Sociales

Université de Tunis

amorbelhedi@yahoo.fr


Résumé : Les limites en géographie. Pertinence et limites d’un concept et d’une pratique

L’espace se trouve partout ponctué de limites, discontinuités, seuils et de frontière dont la nuance est floue. On a même inventé des limites là où il n’y avait probablement pas, tellement la délimitation constitue les prémices de l’analyse.

Le texte pose la question des limites en termes de pertinence. Il montre la centralité de la limite dans le savoir géographique en tant qu’outil, objet, démarche et résultat. La délimitation est souvent le point de départ et l’aboutissement de l’analyse. La limite a été souvent considérée comme un simple cantonnement pour s’y enfermer alors qu’elle devrait être au centre de l’intérêt en tant qu’interface structurante.

Notre propos montre la nécessité d’inverser la problématique et la démarche et de renouveler les outils méthodologiques inhérents aux limites.

Mots-clefs : Limite, discontinuité, seuil, frontière, interface, problématique, méthode, interférence

« Je me nomme Limite et je me nomme Centre. Je garde tous les seuils de tous les mondes. Rentre ». Victor Hugo. La légende des siècles, op. cité par R Brunet, 1993, p. 453.

Cette citation nous rappelle que la limite se trouve déjà au centre, nous invite à inverser l’ordre des choses et à revoir la démarche. Limite, discontinuité, seuil et frontière ; autant de termes qui signifient le même phénomène, à des nuances près, au point qu’on utilise l’un pour l’autre sans limite, ce qui introduit souvent des ambiguïtés. On se limitera dans ce papier, à la question des limites en géographie ; quelle est sa pertinence et quelles sont les limites, tant au niveau du concept que de la pratique ?
I - Limite, discontinuité et frontière
Tout d’abord, il faut signaler la différence entre des notions, assez proches : la limite, la discontinuité et la frontière. On a la limite « qui circonscrit deux ensembles spatiaux dont on souligne les différences » (Renard J-P, 2002) qui ne sont pas forcément structurantes, ensuite « la discontinuité qui suppose des structures d’organisation de l’espace » (Groupe Frontière 2004) ; enfin la frontière est une « séparation structurante qui exprime ou révèle l’exercice d’un pouvoir. La frontière suppose bien la discontinuité qui elle-même implique la limite » (ibidem). La frontière est une limite relativement étanche, elle représente « la limite de la souveraineté » et de la compétence territoriale de l’Etat moderne (Nordman, 1999), une limite politique signifiante d’un territoire, elle instaure la limite d’un ordre matériel organisé, d’un géo-système. Elle exprime la souveraineté de la limite autant que la limite de la souveraineté dans le monde naturel et socio-politique.


1-La limite
Etymologiquement, le terme limite provient de limes et limen à la fois. Il provient du latin limes, limitis : c'est-à-dire sentier et entrée à la fois, bordure, frontière. D’abord, ce sont les chemins qui forment la limite des champs s’embranchant sur une voie principale. Ensuite, c’est la ligne fortifiée de l’Empire romain1.

La limite est une ligne qui sépare deux entités contiguës (quartiers, régions, pays, territoires, structures, géosystèmes…), elle est le bord et la fin, l’extrémité d’une entité. Le mot vient de limen, le seuil (Brunet R, 1993, 301).

La limite donne lieu à limitrophe : ce qui est voisin et adjacent, ce qui jouxte, ce qui est à la limite et de là ce qui est proche.

On y trouve à la fois la séparation et la proximité, la limite crée ainsi l’étrangeté, l’autre, le différent. « Les étrangers qui habitent tout près de la frontière sont un peu étrangers que les autres » (Philippe Geluck, Le Chat, Bande dessinée, Casterman, 2002).

La limite exprime la fin et l’extinction graduelle d’un processus ou d’une variable à travers l’espace mais elle donne lieu parfois à des formes plus structurées, plus structurantes de l’espace aussi qui sont les discontinuités.
2- La discontinuité
L’intérêt accordé au discontinu est récent, il est plus simple d’envisager la continuité à l’instar des mathématiques et de la science en général, la discontinuité étant l’exception. Ce n’est que très récemment qu’on a compris que la discontinuité peut être le résultat d’une limite d’une seule variable (Dauphiné A, 2003), R Brunet (1968) a montré que la rupture peut être induite par la dynamique interne du système. Le continu produit ainsi le discontinu. La présence de plusieurs variables dans un géosystème donne lieu à plusieurs discontinuités, la limite du système correspond à celle de la variable fondatrice du système.

La discontinuité est une rupture2 nette dans l’espace, le temps, un processus ou une forme donnant lieu à des entités très différenciées, ce qui fonde même la géographie comme « étude de la différenciation des milieux, des espaces et des territoires », selon le paradigme utilisé, en utilisant des critères structurants pertinents. La limite est donc liée à la discontinuité sans qu’il y ait toujours de rupture totale.

La discontinuité est un concept relatif qui dépend de l’échelle d’observation. On parle volontiers par exemple de l’Europe, du Moyen Orient, du Maghreb, de la Méditerranée pour signifier l’aire spatiale correspondante (physique, humaine ou politique) qui se distingue nettement par des limites claires. Ces entités volent cependant en éclat dès qu’on change d’échelle, on a affaire à des espaces suffisamment différents les uns des autres et largement hétérogènes pour pouvoir constituer une entité viable.

Ces espaces de discontinuités peuvent être des espaces d’action d’autres acteurs, l’exemple de El Quaïda déployée dans les zones de discontinuité est indicatif : les montagnes entre le Pakistan et l’Afghanistan, la presqu’île arabique, le grand Sahara… 

Les discontinuités constituent un élément structurant de l’espace, elles ont des effets importants sur la distribution des faits physiques, humains et économiques. Elles fixent les aires de mobilité, la configuration des réseaux et des flux, déterminent le pavage (géopolitique du monde qui instaure les limites du pouvoir de l’Etat-Nation, économique des firmes, physique, culturel, idéologique…). C’est le cas d’un cours d’eau, d’une chaîne de montagne, d’une autoroute ou d’une limite politique qui inhibent l’interaction et structurent l’espace. Elles expriment un saut qualitatif au niveau des processus sous-jacents, un indicateur de la dynamique et une interface de transformation.

L’étude de la discontinuité est intéressante en soi d’abord comme un fait (origine, facteurs, formes, effets) dans la mesure où elle détermine la répartition des faits géographiques, elle permet ainsi de délimiter des entités homogènes individualisées et constitue un outil d’analyse. Ensuite comme une démarche dans la mesure où la rupture est plus significative que la continuité. La continuité n’est qu’une solution de facilité qui bloque même la réflexion et l’analyse. Les limites entre systèmes ne sont jamais continues. La réalité est un mélange du continu et du discontinu, chaque position privilégiant l’un ou l’autre des pôles serait une erreur, un aveuglement.
Il est vrai que les discontinuités physiques introduisent un effet de friction et limitent l’interaction, bloquent même l’échange. Cependant, les grandes discontinuités physiques « ne s’instaurent en tant que barrières représentées et vécues par les hommes qu’à partir du moment où ceux-ci les considèrent comme telles » (Di Méo G 2002), la Méditerranée a été toujours un creuset civilisationnel (Braudel F, Brunet R), la fracture Nord-Sud n’est que récente tandis que le Sahara est passé d’un trait d’union, au moment où les moyens de transport étaient très limités, à un véritable hiatus ?
A voir les écrits, on a l'impression que tout est continu, la discontinuité n'est que l’exception à la règle. En fait, le continu est très limité dans le temps et dans l'espace. Le mouvement lui même n'est qu'une suite de petits mouvements saccadés parfois imperceptibles ce qui nous donne l'illusion ou la sensation de la continuité. En fait, la continuité n'est qu'un détour de l'esprit qui simplifie énormément les choses, toute la démarche scientifique se fonde sur la continuité. On ne fait que passer des limites et des frontières à longueur de journée sans s'apercevoir. “ Il n’est rien qui ne résulte de passages et d’obstacles ” (Dagognet F 1977). Ces discontinuités donnent lieu parfois à des seuils.
3- Les seuils
L’identification, la localisation et l’analyse des seuils sont d’un grand intérêt. Le seuil est ce passage entre deux entités, il marque à la fois le passage, la limite et la discontinuité.
a- Le seuil comme mode de la limite

La limite passe toujours par la présence d’un seuil (limen) dans le sens de rupture dans la continuité d’un phénomène qui marque un changement qualitatif et quantitatif à la fois. Il est « la manifestation concrète de la discontinuité […], le mode d’existence réel de la discontinuité » (Brunet R, 1997) alors qu’il utilisait en 1968 les deux termes dans le même sens laissant au terme de discontinuité une acception abstraite contrairement à rupture, seuil, front, frontière, coupure, interface…(Ciattoni A 2005).

Le seuil est une rupture dans la continuité d’un phénomène qui marque un changement qualitatif et quantitatif à la fois. Il est la manifestation concrète de la discontinuité, il constitue le mode d’existence réel de la limite. Il représente une valeur critique pertinente qui peut avoir un caractère opératoire (Belhedi A 1998). Il résulte d’une limite d’une variable (Veyret Y 2002) tandis que le gradient relève plutôt d’une gradation continue avec transition graduelle donnant lieu à une frange, une marche : l’écotone3 en biogéographie peut aller d’un versant jusqu’à quelques centaines de km².4
b- Seuils et processus : les seuils comme limite des processus

Les processus ne sont actifs qu'entre deux limites déterminantes appelées seuils5 : un seuil de manifestation et un seuil d'extinction. Un seuil est une limite au delà de laquelle un facteur n’est plus actif et un système ne produit plus un effet déterminé. Le seuil est aussi le niveau au delà duquel il y a une brusque variation. Le seuil est fonction de plusieurs variables qu'il convient de connaître et dès qu’une variable dépasse une limite donnée, tout le système atteint un seuil. Toute limite est commandée par des seuils qu’il convient d’analyser : la petite variation d’une variable qui déclenche une mutation importante dans le système selon la propriété de l’émergence ce qui récuse la causalité linéaire6. La définition scientifique d’une limite suppose un modèle d’observation qui permet d’identifier les seuils qui lui sont liés.

c- Dissymétrie des limites et des seuils

Le processus est loin d'être identique de part et d'autre de ces seuils ou limites, dans le temps et dans l'espace. C'est le cas du seuil d'aridité entre la steppe et le désert. Il est plus facile de passer de la steppe au désert qu'en sens inverse, à la suite d'une période sèche alors que le maintien d'une petite végétation si limitée soit-elle est fonction d'un équilibre très précaire. La même remarque peut se faire pour la limite urbain-rural. Les seuils sont dissymétriques et ne sont pas les mêmes selon le côté dont ils sont abordés.
d- Pertinence des seuils et des limites

Si certains seuils sont nets comme le gel (0°), d'autres ont des franges d'incertitude et d'indétermination et sont fonction de plusieurs variables à la fois dont la réalisation conjointe doit être assurée, c'est le cas du seuil de l'urbain : il faut un seuil démographique, un minimum de fonctions, une symbolique... Le travail que nous avons entamé sur le système urbain tunisien a montré que près d'une dizaine de variables plus ou moins claires et faciles à mesurer et à cerner sont responsables de l'apparition du seuil de l'urbanité : une taille de 2500-4500 hab, une vingtaine de fonctions, une fonction territoriale nette, une symbolique rattachée à l'histoire, le terroir, le centre, des équipements socio-économiques, des activités liées à l'urbanité...

Une limite est le lieu de déclenchement d'un processus et d'extinction d'un autre. Elle sépare deux dynamiques différentes même s'il y a toujours une certaine interférence de part et d'autre de ce seuil. En réalité, il est plus intéressant de définir et de déterminer le seuil de déclenchement d'un phénomène donné que de l'analyser lui-même. C'est le cas par exemple du fait migratoire, de l'exode ou de l'urbanisation. Il est plus utile de déterminer quand se déclenche la migration dans un espace donné et à quel seuil s'estompe-t-elle ?
f- Derrière les seuils : le changement de rythme

Les seuils correspondent toujours à des processus dynamiques : apparition, disparition, consolidation, extinction, divergence, convergence, déclenchement, modification de rythme et de cadence, changement de forme... Il y a derrière tous ces mécanismes un changement de rythme qui correspond à une transformation qualitative, voire une mutation. On retrouve ici, la notion première de la discontinuité dans le sens du changement, c'est à dire la rupture de la continuité qui peut prendre différentes modalités : la forme, le rythme, la direction, le sens, la dimension, la nature, le débit...
4- La frontière
La frontière provient du terme finis, extrémité au-delà de laquelle s’ouvre l’inconnu, du mot « front » : espace de combat et donc fluctuant (sens militaire) et plus récemment, la limite de la souveraineté de l’Etat7. Le front pionnier est la limite atteinte par la mise en valeur. La frontière est une bordure infranchissable, d’essence plutôt politique, qui correspond à l’exercice du pouvoir, à la souveraineté et est liée à l’accessibilité8.
a- Une discontinuité forte structurante

La frontière est bien plus qu’une limite, c’est une discontinuité forte qui désigne la ligne de démarcation du pouvoir et renvoie à l’espace qui lui est lié : le territoire. En anglais, on dispose de deux termes : boundary (exprime la linéarité) et frontier (exprime plutôt la zonalité). J-P Renard (2002) propose le terme de limite à « ce qui circonscrit deux ensembles spatiaux dont on souligne les différences » qui ne sont pas forcément structurantes alors que la frontière renvoie à une séparation structurante dans un processus de territorialisation et exprime l’exercice d’un pouvoir.

La frontière est une interface, une ligne d’union-séparation à la fois, qui crée des différentiels spatiaux et des propensions d’échange et ou de transgression lorsqu’elle fermée (contrebande, migration clandestine…) donnant lieu à une dynamique transfrontalière bien connue. J-G Gay compare la frontière à un talus, le gradient économique à une dénivellation qui est source de richesses.
La frontière est un élément structurant de l’espace qui peut durer longtemps après sa disparition même (système de transport, réseaux urbains, paysages, activités…) donnant lieu un décalage comme est le cas de la frontière intra-allemande, elle est symbolique. Au niveau zonal, c’est un espace en marge, peu intégré, suspect et à défendre à la fois ; avec des affinités avec le pays frontalier (culture, économie, solidarités…) d’autant plus que la frontière est récente donnant lieu à une recomposition spatiale basée sur les réseaux socio-culturels et économiques transfrontaliers beaucoup plus que sur les concepts classiques de fonctionnalité ou d’homogénéité (Renard 2002).
b- Une barrière plutôt humaine

La frontière est plutôt une barrière humaine alors que la limite est une barrière plutôt physique (accident oro-topographique, fleuve, forêt, mer…) qu’humaine à des exceptions près avec une convergence pour bien asseoir la première sur une base naturelle pour qu’elle devienne incontestable, s’impose dans le paysage et dans l’imaginaire et delà devient stable, plus facile à contrôler et à défendre. J Ancel (1938) a démontré l’illusion et considère la frontière comme « un isobare politique » beaucoup plus que naturel, une ligne d’égale pression politique en fonction des rapports de forces, de part et d’autre.
c- Les espaces frontaliers : l’effet frontière

L’efficacité de la ligne frontière ne peut s’exprimer efficacement que par la surface de part et d’autre, d’où la présence d’un espace-frontière. La frontière a trois effets : l’effet barrière (fermeture, blocage, étanchéité…), l’effet interface (filtrage, canalisation, échange) et l’effet territoire en créant des confins (Lévy J, 384).

Ces espaces frontaliers requièrent un intérêt notable dans l’analyse des structures et des recompositions spatiales. Les lignes de clivages mentaux, ethniques, religieux ou linguistiques peuvent rejouer et donner lieu à de nouvelles frontières, l’évolution de l’Europe depuis la chute des murs est indicative de cette dynamique : unification allemande, recomposition territoriale de l’Europe de l’Est et de l’ex URSS. L’identité territoriale est génératrice de frontières et de cloisonnement tandis que la polarisation économique est synonyme plutôt d’ouverture. Le politique, le culturel et l’identitaire fondent la frontière contrairement à l’économique.

On pourrait dire qu’une frontière est souvent le résultat de la combinaison de plusieurs limites à la fois dont l’effet issu de la superposition de plusieurs limites devient structurant.
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