Le cas de l’Afrique du Nord à travers les articles des Annales de Géographie (1892-1942)





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La géographie française et les « indigènes »

Le cas de l’Afrique du Nord à travers les articles des Annales de Géographie (1892-1942)

Dans les premières livraisons des Annales de Géographie, plusieurs articles traitent du Sahara et de ses habitants. Le géographe Henri Schirmer livre le premier d’entre eux en 18921 : Le Touat. Étude de géographie physique et économique. Dans cet article, populations sédentaires et nomades sont opposées. Schirmer loue le soin apporté à la culture par les agriculteurs touâtiens et déplore la vie de pillards que mènent les tribus nomades. Selon lui, une présence française plus forte permettrait de protéger les agriculteurs, de briser le « véritable monopole commercial » (p. 414) exercé par certains nomades et de réduire la violence. Les tribus sahariennes représentent à ses yeux une altérité dont les pratiques sont incompatibles avec la présence française ; une vision analogue se retrouve quelques années plus tard dans un texte du publiciste Jean Hess (1897).

En 1894, Fernand Foureau écrit un article assez général de présentation du Sahara Français. Cet explorateur et savant, membre du comité de patronage des Annales de Géographie, consacre l’essentiel de son temps à des expéditions vers les marges méridionales de l’Afrique du Nord. Dans son texte, il dit l’enchantement que lui procure les lieux, celui des « admirables et transparentes nuits sahariennes » (p. 68), son attachement aux nomades Chambba, les instants partagés avec eux et les « concerts de flûtes accompagnées de tam-tam et de chants en mélopées traînantes » (p. 68). Bien que ces expéditions s’inscrivent dans le cadre de la prise de possession du Sahara par la France, les préoccupations coloniales sont absentes de son article ; on y relève seulement quelques notations anodines, qui n’ont d’autres fonctions que de repérage, sur les positions occupées par les militaires français.

Ces deux conceptions de l’altérité semblent s’opposer. La première relève d’une vision hiérarchisée des autochtones, mais toujours en situation de sujétion vis-à-vis des représentants de la puissance coloniale ; la seconde traduit une forme de reconnaissance, celle d’une altérité spécifique et respectable en tant que telle.

L’objectif de ce texte est de présenter brièvement les principales formes de construction de l’altérité en situation coloniale, d’évaluer leur poids dans le champ de la géographie française et d’identifier des temporalités. En outre, et les deux articles mentionnés ci-dessus l’illustrent clairement, la manière d’envisager l’autre révèle une posture relativement à l’entreprise coloniale ; il semble donc possible d’apporter aussi quelques éléments à la connaissance du rôle de la géographie française dans le projet colonial.

Pour cela, j’ai choisi de prêter attention à la centaine d’articles consacrés à l’Afrique du Nord entre 1892 et 19422 dans les Annales de Géographie. Parmi les revues de géographie, les Annales occupent une place particulière. Comme l’écrit Jean-Louis Tissier (1991) : « Les Annales sont l’une des mémoires de notre savoir géographique » (p. 513) ; une mémoire longue et sans doute assez représentative de la production scientifique en géographie. Créées en 1891, les Annales furent longtemps la seule revue nationale à vocation scientifique de la discipline.

Les articles retenus ont été rédigés par trente-huit auteurs différents. Jusqu’aux années 1920, les géographes ne représentent qu’un auteur sur cinq ; les autres sont militaires, administrateurs, géologues, explorateurs, journaliste. Les géographes sont ensuite les plus nombreux. Deux d’entre eux occupent une place prépondérante. Émile-Félix Gautier (1864-1940) a consacré presque toute sa carrière à l’étude de l’Afrique du Nord. Il a rédigé plus d’une vingtaine d’articles pour les Annales ; huit d’entre eux font partie du corpus. Publiés entre 1903 et 1917, ces articles traitent surtout de géographie physique, mais les préoccupations humaines en sont rarement absentes. Augustin Bernard (1865-1947) est l’auteur de neuf des articles étudiés. Mais son poids éditorial considérable se traduit aussi par de nombreuses notes livrées à la revue pendant près d’un demi-siècle. Après une thèse consacrée à la Nouvelle-Calédonie, il consacra lui aussi la plus grande partie de son activité scientifique à l’Afrique du Nord où il enseigna, puis où il effectua de nombreuses missions.

Deux groupes humains sans commune mesure
*Européens et indigènes
Quel que soit l’espace étudié ou la thématique retenue, la distinction entre « Européens » et « indigènes » est un trait commun à l’ensemble des articles. Se dessine ainsi l’image de deux groupes humains que tout distingue et que tout oppose. Le régime de l’indigénat, en vigueur jusqu’en 1944 en Algérie, ne dit pas autre chose lorsqu’au quotidien, il pose une loi pour les uns et une loi pour les autres.

Cette opposition est construite par un regard situé. Elle est soulignée par l’usage fréquent du possessif (« nos tribus », « nos adversaires », « nos nomades »… ) et du pronom marquant la première personne du pluriel. Ces termes semblent éloignés du projet d’une « science haute et désintéressée » (Soubeyran, 1989, p. 87) qui aurait été celui des Annales de Géographie après l’éviction de Marcel Dubois.

Mais cette distinction, si elle semble très marquée, n’est pas originale. En parlant des « Européens », les auteurs se conforment à la terminologie en usage dans la plupart des milieux. Être Européen en Afrique du Nord, c’est – au-delà d’une origine – appartenir à une civilisation dominante. Dans les articles étudiés, les Européens ne sont guère distingués par nationalité ou par leurs fonctions. Être Européen est une position surplombante qui, comme par essence, concerne tous les représentants de cette catégorie, en particulier lorsqu’ils sont confrontés aux autochtones. Face à cet ensemble, la masse des « indigènes », – « cet amas de matière ethnique diffuse » comme l’écrit Charles Monchicourt (1904, p. 170) à propos de la population des campagnes tunisiennes – est généralement infériorisée.

Le comptage des hommes – et, répétons-le encore, la géographie ne se distingue ni des autres discours scientifiques, ni des propos tenus dans la presse ou dans les publications officielles – est un contexte d’élaboration de cette distinction :

« La population totale [de l’Algérie] s’élève à 5 802 444 hab., dont 4 971 424 indigènes et 831 040 Européens » (Bernard, 1922, p. 52).

La justification de ce comptage séparé est la suivante :

« la population de l’Algérie est loin, comme on sait, de former un tout homogène ; pour les questions de densité comme pour toutes les questions démographiques, il convient de considérer à part chacun des groupes qui la composent. » (Bernard, 1908, p. 25)

Dans les limites du corpus considéré, il est donc extrêmement rare de saisir conjointement l’ensemble des populations vivant en Afrique du Nord. C’est cependant le cas dans l’article d’Augustin Bernard consacré aux possibilités de développement du dry-farming (1911) :

« Européens et indigènes sont d’ailleurs appelés à concourir à la mise en valeur vraiment rationnelle du sol africain. » (1911, p. 430)

C’est le constat d’un homme de terrain qui, après avoir étudié les contraintes climatiques et pédologiques de l’Afrique du Nord, les pratiques culturales traditionnelles et les intérêts économiques de la puissance coloniale, conclut que la colonisation ne peut se faire contre les autochtones.

*Des spatialités contrastées
La distinction entre les colons et les autochtones se traduit de manière spécifique dans les écrits géographiques que ce soit à travers les descriptions paysagères ou les formes de la mise en valeur. Le vocabulaire utilisé différencie et hiérarchise les spatialités. Cette approche est plus ou moins marquée d’un texte à l’autre, mais elle reste constante du début à la fin de la période étudiée.

Les descriptions opposent deux formes paysagères ; elles sont parfois renforcées par des photographies et des plans. Qu’il s’agisse de la ville ou la campagne, les espaces des Européens se caractérisent par une rationalité géométrique faite de droites, d’alignements, de rectangles ; les espaces des autochtones sont confus et la disposition des objets y semble aléatoire3. Par exemple, dans un long article narrant une « Excursion interuniversitaire en Algérie » (1921) 4, le géographe Marcel Larnaude multiplie les descriptions. Même s’il fait la part belle aux aspects physiques, les oppositions entre l’allure du bâti, du réseau viaire, des plantations ou du parcellaire sont nombreuses. Sur la route du Sud oranais, Larnaude décrit les

« bons types de villages de colonisation prospères : leur forme simple, rectangulaire, leurs rues se croisant à angle droit » (p. 165).

Plus loin, près de Figuig, les excursionnistes parcourent des ksour et cheminent

« longuement par les rues tortueuses et couvertes, par les terrains vagues, tout bosselés de ruines et de cimetières » (p. 180).

Ces formes paysagères sont clairement opposées et hiérarchisées :

« La colonisation européenne commence pourtant à envahir l’oasis. Sur la place de l’ancienne ville de Mansoura, retournée à l’état de garrigue, entre les murs de terre et les vieilles tours de guet, le doum et les lentisques ont cédé la place à de superbes olivettes, aux figuiers, cerisiers, jujubiers, à des vignes soignées et à de petits carrés de maïs et de luzerne. » (p. 172)

Plus rarement, les paysages sont distingués par leurs couleurs. En voici un exemple dans un article de C. Montchicourt consacré à La région de Tunis (1904) :

« Culture essentiellement européenne, la vigne s’oppose à l’olivier, qui est une culture presque entièrement indigène, et comme nous venons de le voir, elle progresse par endroits à son détriment. Ses feuilles d’un vert éclatant parent d’émeraude les penchants des collines où elle se détache sur la couleur plus sombre des essences de la brousse ou sur le gris cendré des oliviers. » (p. 162)

Cette distinction par le paysage est associée aux formes de mise en valeur et aux moyens de celle-ci. Nombre de textes opposent les moyens archaïques des autochtones à la puissance mécanique et aux techniques mises en œuvre par les Européens.

« Dans tous ces districts, l’eau est remontée à la lumière au moyen de la traction animale, employée par les indigènes, ou d’aéromoteurs métalliques, installés par les Européens. »  (Monchicourt, 1904, p. 159)

« Notre industrie européenne conçoit et exécute de pareils travaux en quelques années, mais non la pauvre industrie des qçouriens, outillés d’une pioche et d’un couffin. » (Gautier, 1907, p. 66)

De longues pages du corpus traitent des activités agricoles ; les formes de mise en valeur sont interprétées de manière contrastée. Au moins depuis le milieu du XIXe siècle, les pratiques culturales autochtones sont associées à une forme de superficialité. Émile Levasseur, par exemple, note qu’en Afrique « les terrains les plus fertiles sont à peine égratignés, non par la charrue mais par la houe »5. À cette rhétorique du grattage ou de l’égratignement est opposée la profondeur des labours à l’européenne. Supériorité matérielle et supériorité morale (avec un renvoi à la valeur du travail) contextualisent ces propos et hiérarchisent les pratiques. Près d’un siècle après Levasseur, Pierre Gourou dans Les pays tropicaux (1948) dénonce le transfert systématique des pratiques européennes et note l’adaptation des pratiques traditionnelles aux conditions climatiques et pédologiques. Le corpus analysé ici montre une succession des deux regards, mais la chronologie est inversée. Jusqu’à la première Guerre Mondiale, les propos sont plus sensibles à l’adaptation des pratiques autochtones aux conditions du milieu ; sans aller jusqu’à dénoncer la mise en valeur coloniale, les mises en garde relatives à un transfert non réfléchi des pratiques ne sont pas rares. Bernard, en fin connaisseur du milieu nord-africain, est un des porteurs de ce discours :

« La culture telle que la pratiquaient jadis les indigènes, avec leurs araires grossiers, respectait la végétation spontanée, les broussailles, les plantes sauvages, et conservait aussi de l’herbe pour le bétail. La culture européenne détruit tout et détruit d’autant mieux qu’elle est plus soignée et plus perfectionnée. » (1911, p. 428)

Après la guerre, ces pratiques semblent moins bien comprises ; c’est le manque de soin, l’insouciance, l’absence de méthodes des autochtones qui en donnent le sens et justifient plus que jamais, pour les auteurs des Annales de géographie, et en dépit des échecs culturaux du passé, la mise en valeur selon des méthodes européennes.

*Combattre, contrôler, civiliser
Les relations de domination des Européens sur les autochtones prennent trois formes qui correspondent grossièrement à trois époques. Les textes des Annales de Géographie sont sensibles à cette chronologie : d’abord combattre, puis contrôler, éventuellement civiliser. Ainsi, les géographes, administrateurs et autres militaires qui traitent de l’Afrique du Nord affichent, pour la plupart sans réserve, leur adhésion à la colonisation. Il n’y a pas lieu de s’en étonner ; ils sont de leur temps. La période étudiée est celle du plus large consensus quant au bien-fondé de la colonisation. Les débats des années 1880 sont clos, la participation des troupes coloniales à la Grande Guerre a balayé les dernières réticences et « l’apothéose coloniale » (Girardet, 2001, p. 176) est atteinte avec le succès colossal de l’exposition coloniale de 1931 et ses trente-quatre millions de visiteurs.

L’entreprise coloniale passe par différentes étapes dont les chronologies diffèrent de l’Algérie, au Maroc et à la Tunisie, et, à une échelle plus fine, d’une région à l’autre. Lorsque les Annales de Géographie sont créées, les populations autochtones d’Algérie semblent résignées à la domination coloniale même si, de temps à autre, des épisodes de révolte sont à signaler. Seules les marges méridionales du territoire restent agitées. Pour la puissance coloniale, la réduction des tribus sahariennes est un objectif majeur ; les raisons en sont économiques et stratégiques. Les auteurs des Annales prennent cette question au sérieux, que ce soit Maurice Zimmermann dans sa «Chronique géographique » ou les auteurs d’articles.

Les allusions aux affrontements entre les représentants de la puissance coloniale et les autochtones deviennent ensuite rares, lorsque le sud algérien est pacifié. Mais le thème resurgit sous la plume de Bernard dans d’un article qui établit un premier bilan de la présence française au Maroc (1917). Les affrontements, qui dureront dans les zones de montagne jusqu’au début des années 1930, inquiètent Bernard :

«On a quelquefois soutenu qu’il suffisait au Maroc de tenir les plaines, mais ce sont là des théories de cabinet qui ne résistent pas à l’expérience et se montrent inapplicables dans la pratique. Si nous ne nous occupons pas des montagnards, les montagnards s’occupent de nous. » (p. 48)

La question des affrontements disparaît ensuite. Pour les auteurs des Annales, la présence militaire suffit  pour contrôler les populations ; une présence même réduite qui témoigne de la puissance des Européens et de la faiblesse, voire de la couardise et de la servilité des autochtones. On approche là une forme de violence ordinaire (Crépon, 1996), avec des mots qui disent l’évidence de la colonisation et participent de la vision dominante au sein de la puissance coloniale triomphante. La géographie produite dans les Annales de géographie s’inscrit ainsi, sans contradiction, de manière totalement naturalisée, dans une vision hiérarchisée des civilisations :

«Ainsi ce geste très simple, établissement d’un poste de police à Colomb-Béchar, sans bataille et sans violence, a groupé autour de nous toute la population, pauvres et riches, ksouriens et nomades, les uns pour la protection que nous assurons à leurs personnes, les autres pour le mal que nous pourrions faire à leurs propriétés. » (Gautier, 1905, p. 164)

« quelques officiers français, avec une poignée de cavaliers indigènes, administrent et tiennent en main le vaste territoire où nomadisent les Beni Guil. » (Larnaude, 1921, p. 178)

« On n’oublie pas, quand on les a vus à l’œuvre, un Lefèvre, un Nivelle, un Emmanuelli, leur ascendant sur les populations indigènes, leur fermeté, leur justice, leur humanité, leur sympathie pour ces grands troupeaux humains dont ils sont vraiment les bons bergers. » (Bernard, 1924, p. 196)

Civiliser. Ce troisième temps de la mise au pas des autochtones est très présent dans le corpus analysé. Les premiers propos sur ce thème sont repérés dès le début du siècle ; les derniers à la fin de la période. C’est le cas jusqu’au dernier article analysé, dans lequel la vision de Robert Tinthoin se partage entre légitimité du projet de civilisation et doutes quant aux modalités de sa mise en œuvre :

« Il ne s’agit pas d’introduire brutalement des nouveautés capables de troubler dangereusement un état qui, tout en étant peu évolué, est malgré tout adapté "à la terre ingrate, à la pluviosité capricieuse, à la rareté des capitaux". » (1942, p. 204)

La civilisation est posée comme un horizon, parfois lointain, pour les autochtones. Elle est liée aux possibilités de leur éducation ; celles-ci sont jugées variables et sont en adéquation avec le consensus établi depuis le milieu du XIXe siècle, quant à une éducabilité variable (selon les « races ») et limitée des autochtones (Reynaud-Paligot, 2006) ; il existe une hiérarchie.
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