Des valeurs, principes et règles spécifiques
| Les critères principaux : types et exemples
| Indicateurs généraux : types et exemples
| Indicateurs d’impact : types et exemples
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Autonomie et indépendance vis-à-vis de la sphère publique ou politique ou de tout autre obédience (religieuse, sectaire).
Principe lié à celui de libre adhésion (ou de libre entrée, libre sortie) qui exclue l’obligation d’intégrer (de faire partie de…) une coopérative, une mutuelle ou une association.
Elections libres, selon la règle une personne – une voix, à toutes les instances de gouvernement.
Pas de Président de droit ou de majorité de « membres de droit » (de l’administration publique…)
| Liberté des élections des administrateurs et des organes de direction et de gouvernance.
Liberté des recrutements des dirigeants et cadres salariés.
Liberté des délibérations et des choix stratégiques de l’OESS.
Marge d’autonomie et d’initiative dans l’exécution d’une commande publique.
Capacité autonome d’innovation ou de créativité sociale ou sociétale.
… et de conseil pour l’élaboration de politiques publiques.
| Respect des règles légales, réglementaires et statutaires propres à chaque type d’entreprise sociale (coopératives, mutuelles, associations), relatives à la tenue des A.G., de l’élection des administrateurs au C.A. et autres instances, de l’élection de la Présidence.
Respect des chartes d’engagement réciproques entre les administrations ou les collectivités publiques et les OESS.
Contributions à l’élaboration de politiques publiques (comité ou commission de consultations, de concertation…), à leur mise en œuvre, à leur co-évaluation.
Indicateurs de résultat
Composition nominative et qualité des membres administrateurs et des dirigeants élus.
Taux de participation aux Comités de suivi, aux instances de concertation, aux commissions thématiques mises en place par les collectivités publiques.
| La progression de la concertation, du dialogue civil.
Les rapports conventionnels entre la sphère publique et la société civile autonome (notamment sa composante E.S.S.).
La co-élaboration ou la co-opération (entre sphère publique et société civile) pour une meilleure prise en compte de l’intérêt général, des intérêts collectifs, du « bien commun », dans l’offre de « biens publics », de biens marchands ou biens mixtes.
La capacité de contribution innovante à la conception et à la mise en œuvre des politiques publiques (niveau local, niveau national, niveau international).
Traçabilité de ces contributions dans les dispositifs mis en œuvre.
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