télécharger 20.8 Kb.
|
DOCUMENT 1 Les pays anglo-saxons (Etats-Unis, Canada, voire Royaume-Uni) et les émergents semblent résolus à exercer des pressions « de plus en plus fortes » sur les Européens pour qu’ils en fassent moins sur le terrain de la rigueur et de la consolidation budgétaire et qu’ils permettent ainsi une véritable reprise dans la première région économique du monde, observe un participant. Les questions des stratégies de croissance et d’un éventuel changement des politiques économiques et de réglage conjoncturel (policy-mix) dans un sens moins restrictif, réclamé par Syriza, la gauche radicale grecque, et par le nouveau premier ministre hellène, Alexis Tsipras, devraient être largement évoquées. Les pays anglo-saxons et les émergents, inquiets du caractère trop « faible » et trop « inégal » de la croissance mondiale, poussent en ce sens. Le Canada devrait aussi redire haut et fort qu’il est favorable à l’annulation de la dette grecque, une solution exclue par le Fonds monétaire international (FMI), la Commission européenne et la Banque centrale européenne (BCE).A l’évidence, les non Européens, traumatisés en 2010 par la crise des dettes souveraines et par la menace d’un éclatement de la zone euro, attendent tous de cette dernière qu’elle trouve une solution – le plus rapidement possible – au problème grec. Source : Le Monde, 08.02.2015 DOCUMENT 2 Les pays de l'UE 28 les plus endettés en 2013 :
Source: Eurostat N'écrivez pas sur ce sujet, que vous devrez rendre en fin d'interrogation |