A Cours, séminaire mémoire, atelier de projet 12





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Ecole

Nationale

Supérieure

d’Architecture

de

PARIS LA VILLETTE


2011






le diplôme de Spécialisation et d’Approfondissement

en Architecture et Projet urbain

DSA Projet urbain, Paysage,

Métropolisation



Sommaire
Fiche d’identité 3
I) Présentation du DSA Projet urbain, Paysage, Métropolisation 4
1) Orientation générale de la formation 4
2) Principes d’organisation de la formation 8
2-1 Direction collégiale du DSA et Conseil scientifique et pédagogique 8

2-2 Un enseignement fédérateur de tronc commun 8

2-3 Recherche et/ou spécialisation professionnelle 9

2-4 Partenariats internationaux 9
3) Organisation des enseignements 9
3-1 Les unités d’enseignement – cadre général 9

3-2 Un enseignement général de tronc commun 10

3-3 Structure de l’enseignement pour chaque thématique 12

a) Cours, séminaire mémoire, atelier de projet 12

b) Le stage ou la mise en situation professionnelle 12

c) Le mémoire et sa soutenance 12

3-4 Evaluation des enseignements 12

II) Présentation des trois Thématiques 13



Thématique A : Projet urbain et métropolisation (PUM) 13

Thématique B : Paysage (PAY) 16

Thématique C : Métropoles de l’Arc Pacifique : dynamique de complexité (MAP) 19

FICHE D’IDENTITE
Etablissement demandeur :

Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-La Villette (ENSAPLV)
Intitulé du diplôme délivré :

DSA Projet urbain, paysage, métropolisation
Mention:

Architecture et projet urbain
Trois thématiques :

Projet urbain et métropolisation (PUM)

Paysage (PAY)

Métropoles de l’Arc Pacifique (MAP)
Localisation des enseignements :

Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-La Villette (ENSAPLV)

144 avenue de Flandre, 75019 Paris

et

Ecole des hautes études en sciences sociales (EHESS)

54 Boulevard Raspail, 75006 Paris
Date d’ouverture de la formation:

2006
Responsables de la formation :

La direction collégiale du DSA est composée de deux enseignants par thématique.


-Thématique A

Projet urbain et métropolisation:


-Thématique B

Paysage:

-Thématique C

Métropoles de l’Arc Pacifique:

Patrick DUGUET

Architecte, urbaniste

Maître-assistant TPCAU ENSAPLV

Architecte conseil de l’Etat

studio@duguet.fr


Arnauld LAFFAGE

Plasticien-paysagiste

Maître-assistant ATR

Co-directeur AMP, ENSAPLV

alaffage@paris-lavillette.archi.fr


Christian PEDELAHORE 

Architecte DPLG, Urbaniste SMUH

Docteur en Architecture, HDR 2011

Professeur VT, ENSAPLV

christian.pedelahore@free.fr


Patrick LEITNER

Architecte

Docteur, HDR en cours

Maître-assistant TPCAU ENSAPLV

patrickleitner@free.fr



Pascal AUBRY

Paysagiste DPLG

Maître-assistant VT ENSAPLV

Paysagiste conseil de l’Etat

p.aubry@versailles.ecole-paysage.fr

Jean-Michel COGET 

Ingénieur économiste

ESTP, CHEC, CNFPT (directeur territorial)

Maître-assistant STA

ENSAPLV

jean-michel.coget@laposte.net



Conseil scientifique et pédagogique :

Il est composé de la direction collégiale du DSA et des membres extérieurs suivants :

Augustin Berque, Jean-Pierre Le Dantec, Charles Goldblum, Gustave Massiah, Philippe Revault, Yong Hak Shin.
Place de la formation dans l’offre universitaire :

Formation d’approfondissement et de spécialisation post-master.

I) présentation du DSA « PROJET URBAIN, PAYSAGE, METROPOLISATION »

1) Orientation générale de la formation
Ce DSA vise la formation approfondie de diplômés, en architecture et issus d’autres formations universitaires sur le projet urbain. Cette formation supérieure se décline à travers un enseignement général de tronc commun (TC) et trois thématiques ainsi nommées: A. Projet urbain et métropolisation (PUM), B. Paysage (PAY), et C. Métropoles de l’Arc Pacifique : dynamiques et complexités (MAP).
Le DSA s’adresse majoritairement à de futurs professionnels qui veulent acquérir une spécialisation dans les domaines de compétence du projet urbain, du paysage et de la métropolisation, ainsi qu’à ceux qui désirent s’initier aux questions de la recherche dans la perspective de poursuivre leurs travaux sous forme d’une thèse de doctorat.
Depuis sa création, le DSA participe au développement de nombreux partenariats internationaux de l’ENSAPLV qui l’enrichissent à leur tour. La qualité des débouchés qu’il offre à ses anciens étudiants dans les institutions étrangères contribue au rayonnement de la France dans des pays à forte croissance urbaine, demandeurs de savoir-faire dans les domaines du projet architectural et urbain, et de l’aménagement. Le nombre des étudiants étrangers inscrits est un indicatif de sa réputation qui s’étend désormais en Europe, dans l’espace méditerranéen, en Amérique Latine et en Asie.

Dans cette nouvelle habilitation, l’accentuation de l’apport du tronc commun cherche à mettre en évidence les problématiques communes et distinctes des phénomènes de métropolisation à l’échelle internationale.

Sources du DSA et équipe enseignante


Le DSA regroupe en son sein des enseignants d’anciennes formations de 3ème cycle et formations doctorales comme :

  • le DESS « Ville, architecture, patrimoine, Maghreb et Proche-Orient » (ENSA Paris-Belleville, Paris-Malaquais, Paris-La Villette, de Versailles et de Strasbourg)

  • le DEA « Jardins, Paysages, Territoires », (ENSA Paris-La Villette ; l’ENS du Paysage de Versailles ; l’EHESS ; Paris I Sorbonne).

  • le DEA inter écoles « Projet architectural et urbain », (ENSA Paris-Belleville, Malaquais, La Villette, Versailles avec l’IFU-Université Paris 8)

  • le DPEA inter écoles « Métropoles d’ Asie Pacifique » (ENSA Paris-La Villette, ENSA Paris-Belleville).

  • Une partie significative des enseignants et chercheurs de l’Ecole nationale supérieure d’architecture de Paris-La Villette qui ont approfondi de façon croisée les domaines du projet urbain, du paysage et de la métropolisation tant par leurs pratiques que par leurs apports théoriques, font partie de l’équipe enseignante.



Orientations majeures de la formation


Il s’agit de développer dans le cadre de la formation un regard critique autant sur les mutations urbaines récentes et actuelles, que sur celles qui concernent la conception des projets urbains dans le cadre des mutations des territoires, les acteurs, les compétences et la circulation des savoirs. Abordée comme savoir-faire, la démarche de projet est surtout approfondie comme activité réflexive, pratique à la fois spéculative et cognitive, mode de construction d’une pensée critique sur elle-même et ses objets.
Une évolution importante en ce sens concerne depuis les dernières années une démultiplication des situations de projet étudiées (indications concernant les territoires étudiés à titre d’exemple, car susceptibles d’évoluer d’une année sur l’autre :

  1. situation de projet intercommunal en métropole mono-centrée (projet long) comportant plusieurs hypothèses à identifier et étudier : un ensemble de territoires desservis par la ligne du RER E entre Paris et la Seine et Marne.

  2. situation d’un territoire communal en métropole mono-centrée (Gennevilliers, terrain d’étude choisi pour le workshop international 2009 dans le cadre du programme intense Erasmus « relevés d’urbanité ») et en réseau de villes (atelier intense inter-thématique sur l’Yonne).

  3. Situation d’une mégapole émergente, combinant une population dépassant dix millions d’habitants et une forte croissance urbaine (métropoles d’Asie Pacifique et d’Amérique du Sud, Téhéran, Mumbai, Le Caire, etc.).


Si les trois thématiques fournissent des références et des modes de conceptualisation spécifiques, la formation doit permettre à un niveau plus général d’interroger les enjeux, le partage des responsabilités entre le politique et les professionnels, les possibilités de recomposition du travail permettant de valoriser une compétence collective d’équipe. La formation s’entend aussi comme une préparation à de nouvelles formes de gestion de l’urbain.
L’enseignement général de tronc commun, réaffirmé comme une source commune pour les investigations conduites dans chaque thématique, reste un travail continu et essentiel pour l’équipe pédagogique. Ce tronc commun, et plus largement la formation, est adossé à des structures de recherche travaillant aussi bien sur l’une ou l’autre compétence (projet urbain, paysage, métropolisation), ainsi que sur leurs modes d’articulation dans le cadre de processus de projet.

Dès le début de son fonctionnement, a émergé une volonté commune de porter une attention prioritaire à la question des métiers d’aménagement, aussi bien par les contenus que par les modes pédagogiques. Les trois thématiques proposent de former de façons distinctes la prise en charge de la complexité urbaine et territoriale, de l’innovation, et le développement de la relation entre maîtrise d’ouvrage et maîtrise d’œuvre.
Les futurs diplômés du DSA doivent aussi tenir compte que dans ces situations urbaines et territoriales diverses et évolutives, leur place et leur rôle ne sont plus définis à l’avance. Il leur est alors donné de trouver l’occasion de se confronter à de telles situations pour développer leur capacité d’y cerner et préciser leur contribution tout en définissant une coopération riche avec d’autres acteurs. La formation permet aux étudiants de prendre pleinement la mesure du décalage entre une nécessité d’ouverture et de curiosité pour appréhender valablement ces réalités urbaines et territoriales, et l’exercice professionnel qui tend souvent à s’inscrire dans un cadre organisationnel et/ou institutionnel peu enclin à reconnaître, soutenir et valoriser de telles nécessités.
L’exercice pédagogique, comme par ailleurs l’exercice professionnel courant, est conduit à réduire et à segmenter la complexité prise en charge. Le cadre du DSA avec ses trois thématiques permet de donner un sens concret à l’exigence complémentaire de ne pas perdre la perception d’interactions essentielles, et à la nécessaire transversalité des réflexions et interventions. Il semble particulièrement intéressant  de tirer le plein profit des possibilités de rencontres entre étudiants de formation initiale et de thématiques différentes, et donc des possibilités de coopérations expérimentales qui en résultent. Pour cette raison, un soin particulier a été apporté ces dernières années à la clarification du temps étudiant qui organise explicitement les échanges entre les trois thématiques. L’enseignement général de tronc commun de cours, le séminaire « portrait de ville », l’atelier « réseau de villes »,les jurys de concours constituent autant d’occasions de confronter les approches.

Problématique


La problématique générale relève avant tout des questions qui ont trait aux échelles des projets dans lesquelles interviennent les architectes (et/ou paysagistes), et plus largement aux référents et modes opératoires des projets sur lesquels choisissent d’intervenir en commun au travers de différentes disciplines et acteurs soucieux de donner forme aux divers problèmes spatiaux, questions territoriales et préoccupations sociétales.
On distingue d’une part des pratiques et discours qui concernent la grande échelle des territoires en mutation, et d’autre part, des discours et pratiques liés aux interventions dans l’espace de la crise, par des interventions urbaines à d’autres échelles : réhabilitation des grands ensembles, friches industrielles abandonnées, interventions dans les périphéries des villes, tentatives de résolutions des oppositions entre ville consolidée, centre (historique) ou encore périphérie.…
Si l’on considère que la ville a toujours été en crise et en mutation, le projet urbain, son approche paysagère et du développement des métropoles doivent répondre simultanément à cet état de conflit et de tension permanente. Il faut donc étudier de manière approfondie différentes approches, pour évaluer la nature de l'intervention des architectes, urbanistes et paysagistes donnant forme et substance aux multiples échelles, dont certaines questions apparaissent comme contradictoires.
A titre d’exemple, on peut noter :

  • Comment prendre en compte l'histoire de la ville, du territoire, du paysage, si l'on considère l'extension incontrôlée, l'éclatement, la dispersion, la métropolisation ?

  • Comment articuler d'un côté le respect et maintien de la forme à partir des limites qu’on établit entre centre historique et périphéries et d'un autre côté, à l'opposé, l’abolition des limites, "la périphérie de la périphérie", qui fonctionne de manière amnésique par rapport à la forme de la ville existante ?

  • Comment refonder les pratiques de conception des professionnels qui pensent et interviennent sur la ville alors que celles-ci paraissent souvent inadaptées à entendre et à reformuler, avec les intéressés, une demande sociale toujours plus importante notamment dans les périphéries ?

  • La notion d'échelle n’implique pas seulement le rapport entretenu entre projet de ville et projet territorial, mais aussi une prise de position sur l'environnement et la civilisation urbaine. Le territoire n'a pas seulement une dimension économique, il participe aussi à une vision de civilisation future. On doit penser l’inscription de l’aménagement urbain dans une perspective de développement économique et social durable et ce faisant, questionner les modèles d’intervention en croisant la dimension du projet urbain à celle de la mutation socioculturelle, la globalisation.


A partir de toutes ces questions et en fonction des échelles, des temporalités et des acteurs impliqués, la différenciation des démarches projectuelles est nécessaire et mérite une formation spécifique. De même, malgré ces spécificités qui concernent des savoir-faire particuliers, des traits communs se dessinent à travers les approches d’autres disciplines (l’histoire de la ville et de territoires, la sociologie, etc.) ce qui conduit à envisager les fondements d’une formation commune.
Ainsi, des questions émergent, qui méritent, soit un approfondissement des connaissances indépendamment des thématiques choisies, soit un traitement spécifique à travers un savoir-faire plus spécialisé :

  • les échelles d’aménagement et leurs représentations,

  • la représentation des échelles en termes architecturaux

  • les démarches de programmation propres au savoir-faire de l’architecte, de l’urbaniste, du paysagiste,

  • l’exploration de la question du paysage et de ses relations à l’architecture, (dimensions historique, géographique, philosophique, esthétique, sociologique),

  • l’expérimentation critique des démarches paysagères pour le projet architectural et urbain,

  • les politiques de développement durable,

  • les territoires de l'espace public,

  • les modalités de la démocratie participative dans les processus de développement urbain,

  • le développement urbain dans ses dimensions sociales

  • les stratégies territoriales et leurs temporalités,

  • le projet et l'articulation des logiques d'acteurs…


Il est clair que toutes ces questions peuvent - et méritent d’être traitées d’une part, en évaluant les degrés d’autonomie et d’hétéronomie de chacune des pratiques (le travail autonome de l’architecte et du paysagiste, en relation avec les logiques et les stratégies des autres acteurs), et d’autre part, en intégrant les notions des temporalités de la pratique du projet urbain et paysager, dans la diachronie et dans la synchronie.
En conclusion, la problématique générale du DSA se tisse autour de ces questions du projet dans ses dimensions urbaines, paysagères, socioculturelles et de développement dans des situations différentes (Europe, espace méditerranéen, Amérique latine, Asie etc.). Les échelles territoriales, les temporalités et les acteurs sont les trois paramètres autour desquelles se fondent aujourd’hui les problématiques que ce DSA approfondira.

Origine des étudiants


Les demandes d’inscription continuent à augmenter, ce qui prouve que l’offre de ce DSA correspond à une demande confirmée. Le profil dominant des candidatures en 2006-2007 correspondait à des diplômés en architecture étrangers intéressés par un diplôme post-master français. Deux profils plus précis s’affirment nettement depuis 2007-2008 et plus particulièrement en 2008-2009.

  • Les étudiants en architecture sur une trajectoire de formation initiale L-M-DSA orientée vers les métiers de la ville (assistance à maîtrise d’ouvrage, chargé de mission dans des agences ou services d’urbanisme, etc.).

  • Les diplômés en architecture et éventuellement en paysage, urbanisme, et plus récemment en géographie et sciences humaines qui, après une période plus ou moins longue de pratique professionnelle dans divers métiers de la ville, décident de s’engager dans une formation leur fournissant des savoirs et savoir-faire renouvelant leur capacité à considérer de manière critique et à faire évoluer leurs compétences professionnelles.


Cette année, une convention a été signée avec l’université de Tianjing qui permet de recevoir un groupe de cinq étudiants chinois et de pérenniser ces échanges.
Débouchés de la formation
Le DSA a été conçu comme une formation professionnalisante conduisant vers une diversité de métiers de la ville incluant la recherche. De construction entièrement nouvelle elle s’adresse spécifiquement aux diplômés d’Etat des écoles nationales supérieures d’architecture et aux jeunes diplômés étrangers, en leur offrant un cursus conduisant vers des débouchés professionnels plus larges et plus spécialisés que le seul exercice de la maîtrise d’œuvre en son nom propre (HMONP).

Comme cela avait été prévu dès le début de la formation, la part d’étudiants intéressés par une trajectoire conduisant vers la recherche et/où vers l’enseignement reste minoritaire, entre quatre et cinq candidats annuellement.
La période d’évaluation des carrières induites par cette formation auprès des premières promotions est en cours. A partir des premières indications à notre disposition, il semblerait que les candidats rencontrent pour l’instant peu de difficultés lors de leur intégration en situation professionnelle, que ce soit lors du stage ou de la mise en situation professionnelle, ou encore après avoir obtenu leur diplôme.

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